Rustica est une revue qui a su vulgariser nombres de techniques et de savoirs dans des articles très souvent bien documentés et bien écrits.

J'avais eu la surprise de lire, dans les numéros de l'année 1930, des choses assez étonnantes comme des publicités pour les fertilisants à base de radium… La radio-activité présentée comme une panacée!

La revue ne saurait être considérée comme une source documentaire et scientifique à prendre pour vraie sans vérification.

Les années 50 au cœur de la guerre froide, il pouvait être de bon ton d'aller visiter le pays du communiste triomphant. Mitchourine décédé en 1935, avait encore des zélateurs actifs pour propager des informations aussi surprenantes.

"des jeunes hybrides dont l'hérédité a été brisée par certaines pratiques de fécondation artificielle" Une assertion et un ton journalistique qui ne suffisent pas à rendre crédible ce rapport de voyage.

Quant à coucher les arbres au sol pour les protéger des rigueurs de l'hiver sibérien, pourquoi pas. Ce n'est plus de la génétique.

Je suis en train de relire de très vieux rustica, trouvés dans le grenier de mon grand-père.

Je suis tombé sur cet article qui parle de Mitchourine (Date de parution Mai 1954):

image irrécupérable

Je suis surpris par la solution des arbres couchés... quelqu'un a t-il vent de cette méthode ??

Bonjour à tous,
Comme suggéré par patrice je tente une greffe sur le bon topic:

J'ai donc trouvé la page suivante:
http://bressuire-ryazan.com/mitchourine.aspx
Et j'ajoutais que:
L'agronome russe, encensé de son vivant, semble faire partie des généticiens soviétiques dont les "travaux scientifiques" sont aujourd'hui contestés.
En rappelant que:
L'exemple de cette "génétique soviétique" nous était enseigné comme un écueil à éviter. Puisse la science rester indépendante de la religion, de la politique, de l'argent…
 
MITCHOURINE, né en 1855, mort en 1935, n'a eu connaisance ni des hormones ni de l'ADN et autres découvertes modernes. Evidence, oui, mais pour souligner que ses conclusions scientifiques furent un peu trop "audacieuses"

Cordialement

On en trouve encore quelques uns dans les bouquineries.
Il y en a aussi chez PriceMinister pour 13 euros
http://www.priceminister.com/offer/buy/2362695/Mitchourine-I-Oeuvres-Choisies-Livre.html

Pour ceux qui n'ont jamais acheté sur ce site, un parrainage permet de bénéficier de 6 ou 7 euros de réduction (pour le parrainé comme pour le parrain ).

Si ça vous intéresse, envoyez-moi votre adresse email par MP.

En ce qui concerne le bouquin de Mitchourine, il est effectivement assez intéressant mais certaines infos ont été démenties depuis sa publication (par exemple, la contestation de la théorie de la génétique de Mendel).

Oui, "oeuvres choisies" est un très beau livre passionnant. On en trouve encore quelques uns dans les bouquineries.

Par contre éviter "Mitchourine, un grand transformateur de la nature", qui est plus un livre de "propagande" qu'un livre de botanique.

pff... çà m'a fait trop envie je viens de me commander "oeuvres choisies"...

Un extrait intéressant pour ceux qui, comme moi, sèment tous les pépins de pomme qu'ils mangent

Sélection précoce des semis
Je dois dire ici comment on doit s'acquitter du processus même de la sélection et ensuite ce qu'il faut sélectionner et d'après quels indices.
Le premier choix doit être fait quand les graines se trouvent encore à l'état de cotylédons. Les proportions relativement plus grosses des cotylédons, leur notable épaisseur et la petite tigelle courte et épaisse qui les soutient (coude sous-cotylédonaire) et les pousses tricotylédonaires sont les meilleurs indices de culture.
La coloration en diverses nuances de l'envers et surtout de l'endroit des cotylédons indique toujours, sans danger d'erreur possible, telle ou autre coloration future des fruits et dans les plantes à fleurs, par exemple dans les roses, la couleur des fleurs.

Lors de la deuxième sélection, dans le dernier mois de la période de végétation de la première année, avant que les élèves ne perdent leurs feuilles, il convient de les visiter plusieurs fois par jour, quand la lumière du soleil leur arrive de divers côtés. Cela est nécessaire, parce qu'un examen minutieux permettra de déceler toutes les particularités de la structure de l'habitus de chaque plant. Même le changement de direction du vent met parfois en relief certains indices auparavant invisibles chez les plants. Au premier regard d'ensemble jeté sur les plants, on reconnaît les meilleurs d'entre eux à leur complexion plus vigoureuse, à la longueur des limbes foliaires, aux pétioles courts et gros, aux extrémités plus grosses des rameaux.

Ensuite parmi les meilleurs indices de culture il convient aussi de citer en particulier : la grosseur du limbe arrondi et aux bords peu profondément dentelés, la nervation serrée et fine de la face inférieure des feuilles, la face supérieure étant ridée et d'une couleur mate sombre, son épaisse pubescence (pour les pommiers) des pétioles volumineux et courts, et des stipules grosses et bien développées.

Sélection après la chute des feuilles. Les gros bourgeons de forme arrondie aux extrémités des rameaux de croissance (tige principale), la pubescence à l'extrémité des rameaux en formes d'arêtes, la répartition en spirale serrée des bourgeons latéraux, de grosse dimension et soutenus par des coussinets très saillants, sont en général des indices positifs et signifient, en particulier, la structure compacte de la pulpe des futurs fruits; la répartition espacée des bourgeons sur une spirale ample promet une molle structure de la pulpe. Les sommets des bourgeons de forme large, étroitement adhérents à un rameau plus droit sont de bonne augure; au contraire, les bourgeons de forme menue, s'écartant du rameau recourbé et ondulant, sont des indices de sauvagerie.

Chez les races d'arbres fruitiers, les gros bourgeons de forme ronde, leur disposition par groupes de trois ou plus ensemble, les glandes de grande dimension et en grande quantité sur les pétioles sont de bons indices. Une coloration plus sombre de l'écorce des rameaux est dans la plupart des cas un indice de la maturation hivernale tardive des futurs fruits et, au contraire, une coloration claire promet la maturation estivale de la variété.

L'absence de petits piquants, la complexion générale trapue sont aussi de bons indices.
Lors de la sélection, il est utile de comparer la forme des rameaux et des feuilles avec les parties correspondantes de leurs producteurs et de prendre en considération telle ou autre ressemblance dans l'appréciation des bonnes propriétés du plant. En outre, il ne faut pas perdre de vue que tous ces indices pendant la première année d'existence des plants hybrides ne se trouvent dans la plupart des cas qu'à l'état embryonnaire et parfois même sont à peine visibles et qu'ils n'atteignent progressivement leur complet développement que durant les années suivantes.

Ensuite la valeur d'un élève ne dépend nullement de l'absence simultanée de certains indices cités plus haut. Parfois l'un des indices se développe plus tôt, alors que les autres indices n'apparaissent que plus tard, à la sélection suivante et dans un âge plus avancé.

Dans certains cas la présence d'un indice négatif quelconque n'empêche nullement l'élève d'appartenir à une bonne variété. Prenons par exemple : chez la vieille et précieuse variété de poire Beurré d'Hardenpont, le limbe de la feuille et sa dentelure sont d'une structure si grossière qu'on croirait n'avoir affaire qu'à une forme sauvage, alors que les fruits de cette variété, tant par leur grosseur que par leurs qualités gustatives, sont de première classe.
On peut en dire autant du groupe Olivier de Serres qui, malgré les bonnes qualités des fruits, a des feuilles très petites et des rameaux d'une structure malingre.

La troisième sélection a lieu d'après les mêmes indices à l'automne de la troisième année de la croissance de l'élève, et au printemps suivant les plants choisis sont transplantés à demeure (on accorde un espace de 2 à 4 m2 pour chaque plant), jusqu'à la quatrième et dernière sélection pour la fructification qui a lieu d'après les qualités des fruits de la troisième à la cinquième année de fructification. Les meilleurs d'entre eux qui ont pleinement résisté aux épreuves tant pour la stabilité de leurs caractères que pour leur endurance et leur bon rendement, sont multipliés par l'écussonnage ordinaire sur de jeunes sujets de deux ans.
Il y a des années où dans la deuxième moitié d'août et pendant une période prolongée, persiste une haute pression atmosphérique (de 760 à 770 mm.). Ceci a, ainsi que j'ai pu l'observer, une forte répercussion sur les organismes des plantes vivaces provoquant chez certaines d'entre elles une seconde floraison en automne.
Dans ces cas, certaines variétés de pommiers, de cerisiers, le sorbier, le putier, etc., fleurissent une seconde fois.

Ces années-là, on remarque aussi dans les plants hybrides une seconde montée de la sève, ce qui expose les plantes à de graves détériorations par suite des gelées d'automne, contre lesquelles nous ne pouvons prendre aucune mesure. Cependant, nous ne devons pas éliminer pour manque d'endurance, lors de la sélection, ces plants qui ont souffert.

En conclusion, il est nécessaire d'indiquer une fois de plus que les trois premières sélections de plants d'hybrides ne peuvent être effectuées que par une personne qui a l'habitude pratique de discerner parfaitement les caractères des plantes. Il n'y a aucune possibilité de donner une description assez complète des caractères et de leurs diverses combinaisons.

La quatrième sélection d'après les qualités des fruits est naturellement à la portée de tous ceux qui connaissent tant soit peu les variétés d'arbres et les arbustes fruitiers.
En outre, dans ces sélections, il importe de noter surtout la manifestation par les plants hybrides de tel ou tel degré d'immunité, tant en ce qui concerne les diverses maladies, que celles dues, en particulier, aux parasites et aux dégâts occasionnés par les insectes. Cette particularité de certains plants doit être relevée avec soin et appréciée. Elle a une énorme importance non seulement pour la culture de variétés données, mais aussi parce que plus tard, on pourra choisir parmi leurs descendants une série de variétés nouvelles, résistantes aux parasites ennemis des plantes.
Ces variétés présenteront une valeur énorme pour l'arboriculture fruitière en U.R.S.S.

Pas de surcharge, tant que ca parle de fruitiers...

Pour en savoir plus, je viens de commencer les "oeuvres choisies" de Mitchourine. En voici quelques extraits :

Etat des lieux :
<i>Après treize années (à partir de 1875) d'études approfondies, théoriques et pratiques, sur la vie des plantes et notamment sur la fructiculture et ses besoins dans les régions de la Russie centrale; après avoir parcouru et visité tous les vergers et pépinières renommés à l'époque; après avoir éprouvé personnellement les qualités et propriétés des variétés de plantes fruitières cultivables dans les zones centrale et septentrionale de l'ancienne Russie d'Europe, je suis arrivé à la conclusion, en 1888, que le niveau de notre fructiculture était extrêmement bas. Les assortiments etaient très pauvres et, qui plus est, encrassés par des arbres semi-cultivés et parfois par des espèces forestières absolument sauvages. Parmi les variétés à rendement passable, figuraient à l'époque au premier rang : parmi les pommiers, les Antonovka, Borovinka, Skrijapel, Anis, Grouchovka, etc.; parmi les poiriers, Bessémianka, Tonkovetka, Limonka; parmi les cerisiers, Vladimirskaïa et ses plants; parmi les pruniers, les plants de diverses variétés de prunelliers et pruniers sauvages. Parfois seulement on rencontrait dans les pommeraies quelques variétés d'origine étrangère (Reinettes, Calvilles, Pépins), et encore en très petites quantités.
Il n'y avait pas du tout de variétés d'hiver parmi les poiriers. Quant aux bigarreautiers, abricotiers, pêchers et vignes on n'en rencontrait qu'en serre chaude, assez rarement d'ailleurs, et personne ne croyait même qu'il fût possible de les cultiver en pleine terre.
Avec de pareils assortiments on ne pouvait espérer obtenir de résultats quelque peu importants dans les vergers.
Or, l'importation du Sud et de l'étranger des fruits destinés aux régions centrales et septentrionales, coûtait à l'Etat des millions de roubles par an.
Cette situation a fait apparaître clairement la nécessité d'améliorer radicalement les assortiments de nos vergers. C'est ce qui m'incita en 1888 à fonder une pépinière destinée uniquement à produire de nouvelles variétés de plantes fruitières, améliorées et à plus grand rendement.
J'ai essayé tout d'abord d'y parvenir en cultivant et sélectionnant des pieds de semis de nos meilleures variétés et de celles d'origine étrangère. Mais les résultats obtenus me confirmèrent en fin de compte dans l'idée que l'amélioration des nouvelles variétés ainsi obtenues était insuffisante. Il s'avéra que par leurs qualités les plants sélectionnés issus des meilleures variétés locales ne surpassaient que de fort peu les anciennes variétés, tandis que la plupart des plants de variétés importées n'étaient pas résistants et périssaient sous l'action du gel. Il me fallut recourir à l'hybridation, c'est-à-dire au croisement des variétés étrangères délicates, se distinguant par leurs meilleures qualités gustatives et leur rendement, avec nos variétés locales résistantes de plantes fruitières. Ceci a permis d'obtenir dans les plants hybrides les qualités transmises par les producteurs croisés : la belle apparence, les meilleures qualités gustatïves des plantes fruitières importées et la résistance à notre climat de nos variétés locales.</i>

A propos de l'interaction entre porte-greffe et greffon :
La partie greffée, bien que d'une grandeur insignifiante, en comparaison de la plante-sujet, exerce une forte influence sur cette dernière. Par exemple les rameaux du sujet-pommier sous l'influence d'un greffon de citronnier greffé sur lui, ont cessé de perdre en automne leurs feuilles, dont les limbes ont varié dans leur structure, tant au point de vue de la coloration que de la compacité et de l'aspect brillant. Ce qui démontre « l'action du mentor ».

Une des techniques recommandées par Mitchourine consistait à greffer divers greffons sur une variété donnée afin de l'améliorer par l'apport spécifique de chacun des greffons.

Une comparaison amusante entre le greffage et le mariage :
Aussi bien dans le règne animal que chez les hommes, les couples s'adaptent réciproquement, en s'intermodîfiant l'un l'autre. Ainsi le mari et la femme qui vivent longtemps ensemble finissent par se ressembler fortement. Même leur caractère évolue vers une moyenne entre leurs anciens caractères particuliers.

A propos de l'intérêt des greffes intergénériques :
<i>Je dois dire en conclusion qu'il va de soi que les expériences de symbiose sont entreprises non dans le but de cultiver des citronniers ou des bigaradiers sur des poiriers pris comme sujets ou bien des cerisiers sur des pommiers servant de sujets : car le moins qu'on puisse dire d'entreprises faites dans ces buts serait qu'elles sont absurdes. Ces expériences sont organisées dans le but :
a) d'établir concrètement l'influence du sujet sur le greffon;
b) de prouver que la faculté d'adaptation est plus forte chez les plantes hybrides dans leur âge le plus jeune, etc.;
c) d'obtenir au moyen de marcottes et de boutures un changement fixé de la structure d'une variété sous l'influence qu'elle aura reçue d'un sujet d'une espèce différente.</i>

Luther Burbank c' est inspiré des travaux de Darwin, plus scientifique et son approche était différente de Mitchourine qui était plustot un homme du terrain, observateur de ses cueillettes. Je ne crois pas qu' il eu des liens tangibles entre ses deux personnages.
Lyssenko était un fumiste, essayant de ramassé tout de Mitchourine. On ne devrait même pas mentionner son nom. Par la faute de Lyssenko, nombre de grands scientifiques, des généticiens qui rejetaient le lamarckisme en faveur de la sélection naturelle, ont été envoyés aux goulags ou sont tout simplement disparus.Les méthodes de Lyssenko ne furent condamnées par la communauté scientifique de son pays qu'en 1965, plus d'une décennie après la mort de Staline.

** Burbank applied the works of Charles Darwin to plants. Of Darwin's The Variation of Animals and Plants under Domestication, Burbank said, "It opened up a new world to me."

I.V. Mitchourine, quant à lui, était un partisan des idées du naturaliste français Lamarck (1744-1829), lointain prédécesseur de Darwin.
Lamarck attribuait l'évolution à l'hérédité des caractères acquis. Par exemple, dans un environnement changeant où il devait brouter des arbres pour survivre, l'ancêtre de la girafe a pris l'habitude de tendre le cou. Cette façon de se nourrir et l'habitude ainsi créée se sont transmises aux autres générations. Avec le temps, le cou de l'espèce a fini par s'allonger

bonsoir!
ouf dur d'acceder au site !!!
J'ai prix un hébergeur "discount" pour assurer la gratuité du site... Ca se ressent aux heures de pointe où "ca rame".

bonsoir!
ouf dur d'acceder au site !!!
pour mitchourine ses travaux avaient beaucoup inspiré les theses developpées par lyssenko en URSS dans les années 50 !!
notament l'hybride blé chiendent et ce qui devait doubler "l'heritage du pauvre " a savoir la pomme de terre-tomate !!
a l'epoque tout cela fut l'objet d'une polémique acharnée les ideologies s'en etant mélées!!!
d'apres certains mitchourine se serait lui meme inspiré des travaux de burbanks (il existait un jardin portant ce nom en californie), ou il avait planté des varietés prometeuses entre autre une prune sans noyau (enfin avec juste un petit noyau mou !!!
amicalement
Madurette

Salut, c'est un peu hors sujet mais un pépiniériste m'a proposé l'année dernière un pommier qui d'après lui donnerait 2 récoltes par ans aux Baléares je crois. (J’ai quelques carences en géographie alors c'est peut être une autre île ). A l'époque j'avoue que je ne l'ai cru qu'à moitié.

Est ce que le nom de Mitchourine te dit quelque chose..
je voudrais vavoir s' il a eu des recherches publiées en Europe de l' est concernant un poirier qui fesait deux fructifications annuelles dont Mitchourine parlait dans un article que j' ai lu..

Ce texte figure à la page 408/409 des Oeuvres Choisies de 1951, il s'agit de VEGUETATIVNAIA un poirier sauvage originaire du Caucase qui donnerait de 2 à 3 récoltes ?. Dont deux par floraisons sucessives . Les arbres greffés conservent les mêmes caractères, Les essais de culture datent de 1931/1932.
Pas d'autres informations sur des études de ce cas très curieux .

Je vais retrouvé l' article en question..

Je n'ai jamais entendu ce nom là....
En cherchant sur le web "Mitchourine poire", on tombe sur des articles faisant état de ses travaux et écrits.

Par exemple :

MITCHOURINE Ivan Vladimirovitch Oeuvres choisies. 1951 Edité par les Editions en Langues Etrangères 580 p à Moscou, et par les Editeurs Français Réunis 221 p à Paris

MITCHOURINE Ivan Vladimirovitch Culture de nouvelles variété d'arbres et d'arbustes fruitiers à partir de semences 1952 Edité par les Editions en Langues Etrangères 96 p à Moscou . Multiplication et obtention de nouvelles variétés fruitières .

BAKHREV A. Mitchourine un grand transformateur de la nature. 1954 Editions en Langues étrangères à Moscou. in - 8 de 155 p

Est ce que le nom de Mitchourine te dit quelque chose..
On a critiqué le personnage peu importe car son nom est encore lié à certains cultivars qu' il a développé. Ce n' était surement pas un imbécile... je voudrais vavoir s' il a eu des recherches publiées en Europe de l' est concernant un poirier qui fesait deux fructifications annuelles dont Mitchourine parlait dans un article que j' ai lu..

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