Comme je l'ai dit le porte greffe peut générer quelques degrés de résistances surtout au niveau racinaire mais pas au point de dépasser les limites d'une variété dont les bois on été pris sur un arbre n'étant pas adapté à notre climat et l'ayant jamais connu .
L'hybridation reste la meilleur solution d'un point de vu génétique pour récupérer les résistances d'une variété en les fusionnant avec une autre mais on n'a pas la même variété au final.
Quand à l'adaptation par noyau qui me semble en tout cas pas plus stupide ( même si un peu osé ) que l'adaptation d'une variété selon le principe du petit à petit ( principe qui peu repousser certaines limite mais là aussi loin d'être suffisant, à moins d'envisager pour une culture en serre froide ).
Le petit à petit ( je considère les semis respectant les tendances naturel de la variété donc chaleur lors du semi et les variétés greffer sur porte greffe résistant ) peu générer quelques résistances mais pour avoir un résultat faudrait des années et des années et ce pas sur la plante mère mais en récupérant les semences des fruits des variété les plus robuste et faire cela sur plusieurs générations ce qui reviens à pratiquer des hybridations. Cette pratique à déjà était étudier pour les agrumes et amener quelques résultats.
http://www.fruitiers-rares.info/articles93a98/article97-Resistance-au-froid-Citrus-et-hybrides-agrumes.html
http://www.pepinieredubosc.fr/agrumes-rustiques/
Je pars du principe que le noyau est un organisme vivant déjà préformé et capable de se nourrir ( eau, chaleur etc ) et de sentir les différence thermique, mais protégé par l'enveloppe du fruit ( enveloppe qui contient des élément minéraux sans oublier le sucre capable faut pas oublier d'abaisser le point de congélation) sans oublier non plus que le noyaux est aussi tout l'arbre à l'état concentrer .
De ce point de vu je considère qu'un noyau possède autant sinon plus de capacité d'adaptation que le végétale déjà germer et former .
Cependant j'ignore encore si c'est une réalité ( je suis en période d'expérimentation sur une large gamme de semence ), j'ignore si il vaux mieux expérimenter avec noyau dans le fruit ou noyau sorti du fruit ( mais qui risque de rentrer en dormance ) et j'ignore aussi ( si cela venais à réussir ) si le fruit que j'aurais au final, car outre le fait qu'on part d'une semence donc d'un hybride incertain il peu y avoir un effet de mutation de certains gène par cette action.
L'évolution ( amélioration des espèces ) passe par diverses points
1) l'hybridation pouvant fixer les caractéristiques les plus avantageuses pour la survit dans tel milieu.
2) la sélection ( une fois l'hybridation réalisé ) qui permet de supprimer les individus non apte
3) la mutation
C'est seulement en suivant ses 3 points qu'on peu faire évoluer et adapter une espèce ou variété à un milieu.
Les mutations peuvent être très diverses dont greffes dans certaines circonstances, et entre entre dans la possibilité des espèces à s'adapter brusquement .
A tester la greffe en 3 étages : étage 1) poncirus avec ces feuilles, étage 2) oranger doux avec ces feuilles, étage 3 ) poncirus
Pour voir si le fait pour la variété oranger d'être prise en sandwich image irrécupérable par le poncirus peut amener des variations de résistance grâce au sèves brute et élaboré transitant par l'oranger.